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J'ai égaré le passage concernant l'escalier de Chartres pour la 3ème partie. Désolé, impossible de retrouver le fichier.
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Vous sera craché
autant de fois qu’il apparaît dans notre bible. Céleste, comme la béatitude,
les anges. Comme ces corps, qui bientôt pourriront derrière un talus ou une
porte cochère.
Céleste comme
discipline et le nombre 13, au rang des chiffres maudits. Mais vous n’en savez
rien, mon père. Vous, vous marchez en me parlant des étoiles, du pardon des
hommes, d’une justice à l’encan du péché des fidèles qui vous suivent
aveuglément
Hector Gaillac n’expiera pas du péché de gourmandise. Avant
que je ne le rencontre, il doit fêter ses noces de tourmaline en avril
prochain. C’est un boucher gras et adipeux, féru de viande bisonne qu’il
bonimente parfois sur un marché couvert d’Issoudun. Je le tuerai avec une
fourchette de maillechort planté dans la gorge. A vendre ses côtelettes, ce bon
vivant dépeceur, touche au sacré.
Tout comme Amandine Creusot d’ailleurs, étudiante en
histoire que j’étranglerai en récitant les Djinns de Victor Hugo. Elle aussi
touche au sacré. Je l’ai rencontré lors du rassemblement des jeunesses
chrétiennes à la gloire du pape. Froidement, je l’écoute me parler de son
travail sur les tombes miniatures, sculptées dans la pierre de la Grande
Pyramide. Sur le règne d’Osiris ou celui de Jéhu à Samarie en Israël. Comme une
litanie où les chiffres résonnent dans un reliquat d’histoire déjà oublié.
Ce qui est mystère doit rester mystère.
Mieux que le crime, mon père, j’ai trouvé un nombre parfait…
(texte jonavin)
Coucou. Je ne comprends pas, j'avais laissé un commentaire hier soir et apparemment, il n'a pas passé. Je disais donc que c'était dommage d'avoir égaré une partie du texte car cela devient compliqué à suivre... :-( Bises alpines.
RépondreSupprimerDésolé Dédé ! De mémoire je pense que c'était le plus beau passage, impossible de retrouver cette 3ème partie.
RépondreSupprimerBises du soir.