Dernière lueur sur les planches en bois d'azobé
De ce vent iodé, je quitte l'humeur marine où j'ai libéré ta silhouette aux alentours
Etrangement, les lampadaires éclairent à peine le sol sous l'ombre jersey des villas normandes
Devant les boutiques
Je marche
Tant les vitres miroitées font l'enseigne des lettres lumineuses
Souffle la bise, d'un monde transparent
Ce bruissement à travers les alvéoles, où passe le silence
Se reflètent les gouttes de pluie sur la baie
Comme l'accroche-cœur pour dégrafer au fond, les senteurs marines
Mais avant, un peu d'irrévérence
Sous la ville endormie, dans la fumée du rêve
Je ne peux m'empêcher d'imaginer, les pensées qui éclaboussent quelques lumières douces pour se baigner dans la fantaisie de tes vagues
Une silhouette vaporeuse qui disparaît dans les vagues de l'imagination. C'est beau. Bises alpines.
RépondreSupprimerJ'adore la mer, ça m'encourage d'en écrire d'autre.
RépondreSupprimerbiz