Les couleurs étaient belles. La route droite,Sous le soleil de juillet, je ne pouvais rien faire si ce n'est comprendre un peu le processus de la vie.
Avec infiniment de douceur et réchauffé par la lumière du jour, je voyais toujours ma destinée amoureuse s’enivrer de miel et de fleurs blanches à travers le pare brise.
La petite place de Marçon était calme avec ses murs de tuffeau reflétant une odeur d'enfance au goût de ma grand mère. Tout proche l'église de la Sainte Vierge vêtue de son clocher tors. Moment idéal pour casser la croûte au soleil avec mon p'tit gars.
Assis sur le banc, je redécouvrais les platanes, les tilleuls que sais-je? Où jadis, j'avais croqué un silence de novembre.
Assis sur le banc, je redécouvrais les platanes, les tilleuls que sais-je? Où jadis, j'avais croqué un silence de novembre.
Comme l’endroit s’y prêtait, j’imaginais ...