En ce dimanche soir d'automne, Voilà ce que je me raconte, je déteste l'autoroute mais je ne crains pas la panne des sens.
Cinq cents bornes pour penser à toi,
De toute façon, je ne sais même plus si tu habites encore Lorient.
Si je pouvais te rejoindre...
Là-bas, il y a le bout du monde
Les dunes, les coups de ventsL'océan qu'on dénude
Des coques de sable
Que le vent ébroue
Au risque d'égarer la perle rare
L'immunité acquise
en regardant le ciel
Les rochers sur l'estran
Mais quand la pluie mouille ton visage
Au loin du rivage
Je te trouve encore plus belle
Wouaou.
RépondreSupprimerVoila des mots qui ne vont pas la laisser insensible...
Ou alors elle est en pierre.
✨⭐️
Si j'invente souvent mes textes, il y a quelques années, j'ai effectué ce parcours de nuit un peu plus long Périgueux -Lorient.
RépondreSupprimerSourire, peut être la froideur des bretonnes m'attire.
Moi je serais au contraire, plutôt du genre strombolien ;-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Toi aussi, tu es un petit volcan italien :)
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