C’était une bohême réceptive qui cueillait l'instant, je n'étais pas étonné qu’elle éprouvât le désir de s'allonger sur le sable.C’est un geste naturel, dès que la vie bourdonne, on a ce besoin vital d’être en communion avec les éléments naturels.
Bien qu’elle m’invitât à la rêverie, je pensais que ça allait durer 2 plombes!
Adieu "Homard bleu", adieu fruits de mer, adieu muscadet et nougat glacé.
Quand j'y pense, j'exagère !
Dans un décor bucolique, j'entendais battre son petit cœur comme un petit animal dont le rythme m'attendrissait. C'est vrai, quand vous avez la nuque calée dans les seins chauds. Comment dire, ça cadenasse vos angoisses. C’est comme un soleil en cloche puis vous fermez doucement les yeux. Vous sentez la ruche bourdonnante tel qu'un emplâtre vivifiant vos raideurs cervicales.
A Mers les Bains, sur la jetée, il y avait toujours la marchande de frites.
Je crois que je n'ai jamais pris autant de temps pour croquer un sandwich américain.
Assis sur la bordure face aux galets.
Il n’y a que les femmes qu'ont ce pouvoir de nous faire glisser les nuages.
D’un ciel dégrafé, au bois de Cise, les yeux ouverts, comment ne pas oublier le bruissement de sa robe.
Du bas de la falaise. Je voyais le monde tourner comme un cerf-volant.
De nos tignasses peignées à la diable, de nos lèvres noires,
De ces baisers mielleux comme un bateau qui se coule dans la ruche.
La mer était belle.
Du bas de la falaise. Je voyais le monde tourner comme un cerf-volant.
De nos tignasses peignées à la diable, de nos lèvres noires,
De ces baisers mielleux comme un bateau qui se coule dans la ruche.
La mer était belle.
Je vais dire un gros mot, mais tant pis. Putain ce que tu écris bien ! ;-)
RépondreSupprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
En 2007, je voulais faire un blog sur les vins mais aussi des petits textes donc je cherchais un titre. Mon frère qui écrit depuis la nuit des temps m'a suggéré Alcools histoire de faire aussi un clin d'oeil au poéte Apollinaire.
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