Si j'étais en Anjou, J'irai te chercher à la gare. Comme d' habitude, je fais les cents pas dans ma tête.
Je porterai tes bagages jusqu' au coffre de la voiture. Quelle belle image quand le bonheur s'installe sur cette terrasse du bistrot, où je rafraîchirais tes yeux pour te séduire.
Je connais l'horizon du large,
Il y a bien longtemps que je t'aime.
Je t’emmènerai aussitôt en direction de Saumur
Oh oui, sur la route touristique "La jetée de la Loire".
Y a plein de trucs là-bas. Pas la peine de se torturer la frange pour comprendre ça.
Si ça te dit,
Une champignonnière, une ferme encavée en troglo plaine ou pourquoi pas les pommes tapées en troglo côteau?
L'Anjou t'envoûtera,
Tu aimeras encore le commerce des musées anciens et les fouées dégustés dans un caveau à Doué la Fontaine.
Le cadre noir peut bien attendre.
Le temps passe si vite,
Un bivouac improvisé! Tu en as des idées...
Ah la douceur du soir comme les bougies dans les cafés d'Amsterdam.
Te rappelles-tu?
Qu' au détour d'un village gabarier, tu t'émerveillais en face de la Loire. Pieds nus foulant le banc de sable dans une coulée de lumière.
On aime tellement la vie quand tout se réveille doucement.
Moi aussi, j' adore les endroits où l'ombre butine et caresse les peaux blanches
Si ça te dit,
Une champignonnière, une ferme encavée en troglo plaine ou pourquoi pas les pommes tapées en troglo côteau?
L'Anjou t'envoûtera,
Tu aimeras encore le commerce des musées anciens et les fouées dégustés dans un caveau à Doué la Fontaine.
Le cadre noir peut bien attendre.
Le temps passe si vite,
Un bivouac improvisé! Tu en as des idées...
Ah la douceur du soir comme les bougies dans les cafés d'Amsterdam.
Te rappelles-tu?
Qu' au détour d'un village gabarier, tu t'émerveillais en face de la Loire. Pieds nus foulant le banc de sable dans une coulée de lumière.
On aime tellement la vie quand tout se réveille doucement.
Moi aussi, j' adore les endroits où l'ombre butine et caresse les peaux blanches
Du jour, où j'ai cueilli tes baisers, tu as semé mes sentiments comme les semailles à venir.
Des toiles d'évasion quand le vent joue les gitanes à travers les cordes de la vie.
Je pourrai continuer la liste.
Il y a aussi Tours, son vieux quartier, ces vignobles, les châteaux de la Loire.
Ce n'est pas un tour pour rien ce que je propose.
Aujourd'hui, j'ai un beau teint.
J'ai ratissé quelques brindilles.
Ce n'est pas un tour pour rien ce que je propose.
Aujourd'hui, j'ai un beau teint.
J'ai ratissé quelques brindilles.
Je sors de chez le coiffeur,
Demain,
je t'embrasserai à ciel ouvert...
Demain,
je t'embrasserai à ciel ouvert...
Dis donc, quand tu sors de chez le coiffeur toi, tu es très lyrique. Et ce n'est pas un commentaire tiré par les cheveux. :-) Bises alpines et merci pour cette poésie suave et charnelle.
RépondreSupprimerAh oui, ce n'est pas un commentaire tiré par les cheveux. Bien vu ;-) je ne sais pas pourquoi,j'adore aller chez le coiffeur. Parfois j'ai l'impression d'avoir les idées fraîches.biz et bon week-end.
RépondreSupprimerContrairement à toi, je déteste aller chez ma coiffeuse. Elle a des conversations sans queue.... ni tête. Ce qui est problématique pour une coiffeuse, tu en conviendras. Bises alpines.
SupprimerLe principal pour une coiffeuse c'est d'avoir un bon coup de ciseaux.
RépondreSupprimerDans mon imaginaire, je te vois comme une femme aux cheveux courts à la coupe garçonne comme dans les années folles.
Biz
Tes cheveux ont dû repousser depuis trois semaines ! ;-)
RépondreSupprimerIl va falloir y retourner...
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Un p'tit peu, j'y retourne demain.
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