Dernière lueur sur les planches en bois d'azobé
De ce vent iodé, je quitte l'humeur marine où j'ai libéré ta silhouette aux alentours
Etrangement, les lampadaires éclairent à peine le sol sous l'ombrejersey des villas normandesDevant les boutiquesJe marcheTant les vitres font miroiterl'enseigne des lettres lumineusesSouffle la bise, d'un monde transparentSe reflètent les gouttes de pluie sur la baiece ressenti trouble, où passe le silence à travers les alvéoles
Comme l'accroche-cœur pour dégrafer au fond, les senteurs marinesMais avant, un peu d'irrévérenceSous la ville endormie,Je ne peux m'empêcher d'imaginer, quelques pensées éclaboussantes, quelques lumières douces pour se baigner dans la fantaisie de tes vagues
vendredi 2 juin 2023
Dernière lueur
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Une mer d'amour qui ne donne pas envie de revenir sur la terre ferme. Bises alpines.
RépondreSupprimerOui, bien enveloppé dans la matière pour respirer les senteurs marines, les sensations. Bises
SupprimerJ'espère que tu as quand même pris ta bouée en forme de canard pour ne pas couler. :-)
RépondreSupprimerJ'ai le kit complet mais là je laisse masque et tuba. Tu veux me rejoindre? J'espère que tu ne fais pas un 95 C autrement j'aurai du mal à respirer quoiqu' avoir le torse contre les seins d'une femme c'est comme un soleil en cloche avec en primeur la fraîcheur des collines suisses, je pense que je ne risque pas de couler ;-)
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